Le pâturage des brebis dans les pommeraies
Le pâturage des brebis sous les pommiers présente peu de contrainte si ce n’est de vérifier que les brebis n’endommagent pas les arbres.
Le pâturage des brebis sous les pommiers présente peu de contrainte si ce n’est de vérifier que les brebis n’endommagent pas les arbres.
Cette pratique autrefois traditionnelle comporte peu de contrainte pour des brebis à besoins faibles et modérés.
Organiser le pâturage et gérer le parcellaire pour mettre en place du pâturage ou se perfectionner !
Faire pâturer les colzas destinés à être récoltés en grains est possible à condition de respecter des règles précises afin de ne pas pénaliser la culture. Aucune amélioration de son rendement n’est toutefois à attendre.
Les couverts végétaux, composés de graminées, légumineuses et de crucifères, semées seules ou en mélange, constituent pour les brebis une ressource fourragère d’excellente valeur alimentaire.
Le pâturage des céréales par les brebis en hiver est possible. Des conditions restent cependant à respecter pour garantir le futur rendement en grains de la culture.
Semé au printemps, le sorgho fourrager prend le relais des prairies, souvent pénalisées par les conditions climatiques estivales. Les brebis le pâturent de juillet à octobre.
Avec une ressource fourragère suffisante, les brebis sont en meilleur état à l’herbe qu’en bergerie en fin d’hiver.
Le pâturage tournant est un mode d’exploitation qui optimise l’utilisation de l’herbe. Cette pratique contribue à diminuer les coûts d’alimentation tout en diminuant les pratiques d’entretien des surfaces.
L’enjeu est d’organiser, sur les surfaces disponibles de l’exploitation, un système de pâturage tournant capable d’offrir une ressource en herbe en quantité et en qualité adaptée aux besoins alimentaires du troupeau.