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Fiches

En Auvergne Rhône Alpes, les caprins laitiers face à la hausse des coûts

Sur la fin de l’année 2021, les éleveurs caprins avaient déjà subi une hausse sur le prix des aliments, de l’énergie et des engrais. La guerre menée par la Russie en Ukraine a renforcé les tensions sur le prix de ces produits. Pour mesurer l’impact de la hausse du coût de ces intrants sur les exploitations caprines livrant du lait sur la région AURA, l’équipe INOSYS réseau d'élevage a réalisé des simulations sur les coûts de production sur les cas types livreurs de la région et sur des fermes suivies dans le cadre du dispositif. Ces simulations réalisées au 30 mars 2022 sur quelques postes de charges (engrais, alimentation achetée et énergie) soulignent bien l’impact de la crise actuelle sur les coûts de production et sur le revenu des éleveurs. Une revalorisation des produits et du prix du lait en particulier est obligatoire pour assurer la pérennité des exploitations et de la filière.

En caprin, choisir son installation de traite

En élevage caprin, le temps consacré à la traite est la part la plus importante du travail. Cette fiche vous donne quelques clefs pour réfléchir votre projet.

En engraissement de bovins : des solutions pour maîtriser son coût alimentaire

L’engraissement de bovins nécessite une alimentation riche en énergie et en protéines pour assurer un gain de croît et un état de finition suffisants.

En ovins viande, des leviers pour contrer la flambée du prix des aliments

De la durée des luttes au mode d'alimentation des brebis et des agneaux en passant par la répartition des fourrages et la gestion des réformes, les leviers pour acheter le moins d'aliment concentré possible sont déclinés dans cette fiche.

En élevage bovin allaitant, des solutions pour maîtriser son coût alimentaire

Comment éviter un dérapage des coûts alimentaires avec l’envolée du prix des matières premières suite à la guerre en Ukraine ?

En élevage caprin, des solutions pour maîtriser son coût alimentaire

La situation en Europe de l’Est, et notamment en Ukraine, entraine une flambée des prix des matières premières et des dérapages sur les coûts alimentaires sont donc à craindre. Au vu des prix atteints à ce jour, cette nouvelle envolée des intrants pourrait se traduire par une hausse importante et rapide sur le coût de production des ateliers caprins. Pour en atténuer les effets, il n’existe pas de solution universelle. Chaque éleveur peut cependant activer un ou plusieurs leviers d’adaptation en fonction de la structure de son exploitation et de son système de production. Cet article propose de façon non exhaustive des pistes de réflexion sur la conduite alimentaire du troupeau caprin.

En élevage caprin, gérer au mieux la pénurie de fourrage

Des stocks de fourrage limités voir insuffisants impliquent nécessairement un impact négatif sur les résultats technico-économiques de l’atelier caprin. Pour autant, avec de l’anticipation dès le début de la campagne, le choix d’une stratégie claire et une vigilance quotidienne accrue, il est possible d’atténuer cet impact. Cet article propose quelques pistes de réflexion à adapter à chaque situation.

Engraisser et valoriser ses bovins mâles dans la filière viande bio

Ce document présente les analyses de trois stratégies de production de viande de mâles du troupeau allaitant en agriculture biologique : les itinéraires techniques du veau, du bœuf et du baron bio

Engraisser les agneaux avec du foin et des céréales de la ferme

L'alimentation des agneaux à partir de céréales permet une économie non négligeable sur le coût d’engraissement par rapport à de l’aliment complet. Il y a toutefois quelques éléments à prendre en compte pour une bonne mise en place, notamment la qualité de l’apport protéique complémentaire et l’organisation du travail à mettre en place.

Enquête sur le temps de travail en atelier VEAUX DE BOUCHERIE

Dans le cadre du réseau d’élevage de référence veau de boucherie du GIE lait-viande de Bretagne, 24 éleveurs de veaux de boucherie ont été interrogés sur leur travail. Pour près de 80 % des éleveurs enquêtés, le temps nécessaire pour effectuer l’ensemble des tâches d’un atelier de 200 veaux est supérieur ou égal à 35 heures par semaine.